Nos matières plus responsables
« L’allongement de la durée de vie d’un vêtement passe inévitablement par le bon choix de matière…le plus responsable possible. Nos ingénieurs textiles sont en relation permanente avec nos fournisseurs de confiance et sélectionnent pour nos clients les fibres et tissus de la meilleure qualité qui répondent au plus près des besoins métiers de chacun. »
Dorothée Allemand, Directrice de Logoclub
prolongez la durée de vie de vos tenues professionnelles
Nous utilisons principalement des matières responsables pour la fabrication des vêtements professionnels de notre marque À-venir.
De plus en plus demandé par nos clients et en accord avec nos valeurs, nous privilégions les matières recyclées et le coton bio ainsi que la viscose responsable pour la confection de nos tenues de travail.
Pourquoi ?
Parce que ces matériaux s’inscrivent dans une démarche d’économie circulaire.
C’est un modèle économique qui privilégie la gestion durable des ressources et une exploitation raisonnée pour la fabrication de
produits de consommation. L’objectif est d’allonger la durée de vie d’un produit et d’anticiper sa fin de vie pour pouvoir le recycler et créer une nouvelle ressource.
Dans notre gamme À-venir by Logoclub, nous incorporons des fibres recyclées dans la fabrication de nos vêtements.
Nous participons ainsi à limiter la consommation et le gaspillage des ressources textiles, tout comme la production de déchets.
Nous utilisons également des fibres de coton issues de l’agriculture biologique. Sa culture consomme moins d’eau* que le coton
traditionnel, ne nécessite aucuns produits toxiques, impacte moins la santé des travailleurs…pour un textile de meilleure qualité.
Ses fibres robustes permettent d’avoir un tissu bien plus solide et durable qu’avec le coton conventionnel.
Quant à la viscose responsable, c’est son exploitation raisonnée qui la rend intéressante. Issue de forêts gérées durablement, elle
consomme deux fois moins d’eau pour sa production qu’une viscose traditionnelle.
*Jusqu’à 10 fois moins d’eau que le coton conventionnel d’après le rapport de Textile Exchange.
